Vous reprendrez bien une petite dose de "DOOM" ?!
Aujourd'hui, encore un remake basé sur le titre emblématique d'id Software, une total conversion plus précisément, dans la veine de celle de Doom 64, qui propose cette fois de refaire les adaptations sur PlayStation de Doom (regroupant The Ultimate Doom et Doom II) et de Final Doom.
D'aucuns, moi le premier, affirmeront que le portage de Doom sur PlayStation, par Williams Entertainment (responsable de nombreux portages sur consoles), est le meilleur, même s'il n'est pas le plus fidèle...
Et ça tombe bien, ça donne une bonne raison d'y rejouer, même lorsqu'on connaît très bien les épisodes originaux sur PC, pour profiter du level design retouché (les lumières notamment, avec de nouveaux effets) jouant considérablement sur les contrastes et les zones de stress dans l'obscurité, de sa bande son exclusive, et des stages cachés exclusifs (Club Doom !).
DOOM PSX TC
Basée sur le port GZDoom (elle ne fonctionne malheureusement pas de base avec Zandronum, en dépit de leur parenté - une adaptation est cependant disponible, voir plus bas -), cette conversion ne repose absolument pas sur de l'émulation et propose donc de jouer nativement à l'épisode PlayStation sur PC, en profitant de l'ergonomie offerte par un moteur au goût du jour.
Petit point collection couvrant la fin d'année 2012 et ce début d'année 2013, en attendant une réception prochaine d'objets en provenance du Japon, qui fait la part belle à Disney et Mickey Mouse.
En effet, j'ai tout d'abord complété ma collection DVD Disney Treasures avec les 4 volumes qui me manquaient, Donald de A à Z vol.2 et 3, L'intégrale de Pluto, et Les aventures d'Oswald le lapin chanceux, qui couvre la période des courts métrages produits par Disney pour le prédécesseur de Mickey (en savoir +) :
Une bien belle collection qui, si complète à l'heure actuelle pour ce qui est de l'édition française, présente un nombre conséquent de courts métrages, ne présente pas pour autant l'intégralité de ceux-ci, puisque plusieurs autres volumes, notamment dans la série des Silly Symphonies , des Pluto et des Donald, sont parus aux Etats-Unis.
De plus, certains courts qui n'entrent dans aucune série (souvent considérés à tord comme des Silly Symphonies), tels Lambert le lion peureux ("Lambert the Sheepish Lion", 1952), Ferdinand le taureau ("Ferdinand the Bull", 1938), ou Pierre et le Loup ("Peter & the Wolf", 1946), restent encore à paraître ; sans compter qu'un certain nombre de dessins animés ont été produits entre la fin des années 1990 et le début des années 2000, et diffusés sur la chaîne Disney Channel (certains diffusés en France, notamment sur M6 lors des fêtes de fin d'année), de nouveaux Mickey Mouse notamment.
Après un début d'année pas super folichon en terme de sorties ciné, du moins pour les spectateurs qui, comme moi, se déplacent essentiellement pour du grand divertissement et des blockbusters, les mois d'avril et de mai se révèlent un peu plus alléchant, avec notamment les très attendus Iron Man 3 et Star Trek 2, le remake prometteur (et bien sanguinolent) d'Evil Dead, la conversion 3D de Jurassic Park pour le 20aime anniversaire (20 ans déjà !) , qui malgré la mauvaise réputation de ce procédé, devrait attirer du monde (toujours l'espoir d'une conversion réussie, en plus du plaisir de redécouvrir ce grand classique en salles), et l'inattendu Oblivion, un film dont on avait bizarrement peu entendu parler, en dehors des quelques semaines précédant sa sortie :
Tom Cruise, Morgan Freeman, et la sublime Olga Kurylenko, dans un film de science fiction sur fond de monde dévasté (façon 2012 ), par le réalisateur de Tron : l'héritage, voilà qui semblait prometteur, surtout au vu de la bande annonce :
Au final, une excellente surprise ! Bien que le film paraisse assez long, malgré une durée "normale" de 2h06, on ne s'ennuie pas une seconde, scotché par les multiples péripéties du héros, et par l'esthétique globale, juste impeccable. Visuellement quasi irréprochable, l'aspect artistique du film est un de ses points forts, proposant une certaine originalité, à commencer par le mecha-design, très réussi, et inspiré ; celui les drones notamment, personnages à part entière, qui dégagent une étrange personnalité !
Le scénario donc, véritable pot-pourri de références cinématographies, parmi des valeurs sûres comme Terminator, Matrix, ou The Island, s'il n'est pas d'une grande originalité, et peut être assez prévisible, est pour le moins efficace, sans temps mort, et bien pensé ; assez subtil pour surprendre même les plus perspicaces.
Côté musique, le leader du groupe français M83 ("Midnight City") s'en sort très bien, en proposant une bande son rythmée et plutôt bien calibrée pour ce type de film (audible ICI dans son intégralité), très inspirée des dernières productions de Hans Zimmer pour les films de Nolan, voire aussi de la composition des Daft Punk pour le dernier Tron, avec une certaine présence de synthés.
Bref, je recommande aux amateurs de SF, en attendant l'arrivée de Star Trek !
Pis Morgan Freeman est un acteur qui a définitivement trop la classe, surtout avec avec des lunettes d'alpiniste !
tags : oblivion film 2013 sf scifi tom cruise critique avis review
Une petite brève concernant l'annonce il y a une dizaine de jours sur le site Disney.com, du retour de Mickey Mouse, dans une nouvelle série de 19 courts-métrages, actuellement en cours de production, dans laquelle la célèbre souris fera le tour du monde, accompagné de ses amis !
Bien que le début de la diffusion soit prévu pour la fin du mois de Juin sur Disney Channel aux USA (pas encore de date pour la France), le premier court intitulé "Croissant de Triomphe", se déroulant à Paris, est déjà visionnable sur le net :
Fait assez étonnant, ce premier court a été publié uniquement en français, dans un doublage mêlant prononciations anglaise et française pour le prénom du héros.
Cartoon oblige, tous les clichés possibles y passent, et bien qu'un poil trop épique et expéditif, on ne boude pas son plaisir de voir notre Mickey voler au secours de Minnie, même dans les situations les plus bénignes.
On retrouve vraiment l'esprit des anciens Mickey, notamment, en plus du design rétro, le côté joyeux et positif des personnages, qui les rend si attachant ; ne pas entendre Minnie pousser la chansonnette m'aurait personnellement vraiment manqué !
Vivement la suite !
C'est connu, il est recommandé de graver nos CD et DVD inscriptibles plus lentement que la vitesse de gravure maximum autorisée par ceux-ci, pour s'assurer d'une meilleure "compatibilité" avec les différents lecteurs optiques, et d'une plus longue longévité. Bien que l'information soit largement répandue dans le milieu du jeu vidéo, notamment celui du retro-gaming, cette recommandation s'applique tout aussi bien à ceux de la musique et de la vidéo.
En effet, les médias optiques enregistrables, CD-R, DVD-R, sont composés d'une couche photo-sensible réagissant à la lumière du laser, et permettant d'inscrire les données ; si la vitesse de gravure maximum autorisée, par ces supports, garantit une qualité de lecture "optimale" (plutôt "acceptable", en fonction des marques/technologies), une gravure plus lente implique une réaction plus "profonde" de cette couche, le laser ayant plus de temps pour inscrire les données.
Concrètement, cela permet :
Une précaution applicable pour tous les types de lecteurs optiques, en l'occurrence ceux dans les consoles (CD/DVD de données), les baladeurs (CD audio), les auto-radio, ou les platines de salon (DVD vidéo), et ce indépendamment de la vitesse de lecture (les lecteurs s'adaptent).
Si la longévité se voit repoussée quant à elle, c'est que la première source d'usure d'un média gravé, vient de sa lecture en soit (les différents passages d'un laser finissent par altérer les données). De ce fait, si la gravure est meilleure, l'altération des données s'en voit réduite dans le temps !
En pratique, pour un CD-R inscriptible en 48x (maximum), on recommandera une gravure à vitesse réduite de moitié, en 24x, voire en 16x, pour la plupart des matériels produits ces 20 dernières années.
En revanche, pour un matériel plus ancien, on opterait naturellement pour une vitesse de gravure encore plus réduite... et là des problèmes lecture apparaissent !...
Aussi étonnant que cela puisse paraître, de mon propre constat personnel (aussi bien sur CD-R que DVD-R), et de celui fait par plusieurs autres personnes avec qui j'en ai discuté (donc sur un panel de graveurs/supports vierges varié), il apparaît que graver trop lentement pose des problèmes de lecture aléatoires avec bon nombre de lecteurs un peu anciens...
Exemples :
Si ces problèmes de lecture ne sont pas systématiques, dépendant notamment de la qualité plus ou moins variable des supports vierges, en fonction de la marque et des lots, une gravure trop lente semble cependant induire un certain risque d'incompatibilité (probablement dû à la surexposition de la couche photo-sensible au laser)...
Conclusion
On peut donc émettre la recommandation selon laquelle il est déconseillé de graver plus lentement qu'un quart de la vitesse maximum. Dans la majorité des cas, une gravure à une vitesse de moitié de celle maximale autorisée, semble le plus conseillé.